Avec l’essor des chaînes d’applications, la L1 deviendra-t-elle un produit bon marché ?
Écrit par Arcana, compilé par le Crypto Research Institute
: Rhythm Deep
Note de l’éditeur : La « Fat Application Theory » estime qu’à mesure que le coût de l’espace de bloc approche de zéro, les blockchains L1 passeront du monopole à la marchandisation, et la valeur passera de la couche de protocole sous-jacente (comme Ethereum, Solana) à la couche d’application. Les applications réussies génèrent plus de revenus grâce à l’intégration verticale, au contrôle des flux de commandes et au MEV pour devenir des chaînes d’applications souveraines. Le marché est en train de réévaluer les L1/L2, et les gagnants de l’avenir seront les applications proches de la demande et axées sur l’utilité, plutôt que les chaînes qui recherchent un TPS élevé.
Ce qui suit est le texte original (le contenu original a été modifié pour faciliter la lecture et la compréhension) :
Laphase d’infrastructure crypto entre dans un monde post-coût marginal. Comme pour la bande passante et la puissance de hachage, le prix de l’espace de bloc se rapprochera rapidement de zéro. Les seules chaînes qui peuvent survivre sont celles qui le peuvent :
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Se développer grâce à des subventions aujourd’hui
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Capturer des revenus non inflationnistes demain
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Fournir une infrastructure que les applications ne peuvent pas facilement reproduire ou abandonner
mais dans ce nouvel environnement, les L1 ne sont plus des monopoles définis par des avantages précoces ou des écosystèmes natifs. Au lieu de cela, ils sont devenus des marchandises – des outils interchangeables pour une activité économique compétitive basée sur la performance, l’interopérabilité et la rentabilité.
Leur valeur dépend désormais de leur intégration dans les processus d’application et de leur capacité à fournir des services indispensables ou non externalisés. La « prime de protocole » qui était autrefois à l’origine des valorisations élevées s’estompe et est remplacée par une demande d’utilité et de performance réelles. La réévaluation actuelle du marché de nombreux titres L1/L2 est le reflet de cette tendance.